Si les réserves du Kruger ne nous ont pas paru être un paradis pour ornithologistes, nous avons néanmoins ennuyé plus d’un rangers en leur demandant de s’arrêter pour photographier un joli oiseau sur une branche, voire en lui demandant d’attendre qu’il s’envole… ce qui ne durait jamais très longtemps… sauf l’aigle bateleur… ce qui est une autre histoire (cf. infra)…
L’aigle bateleur… nous avons attendu plus de 20 minutes pour qu’il s’envole… en nous tournant le dos.
Le calao à bec rouge, ou calao leucomèle, en pleine dégustation
Calao à bec jaune, ou tout simplement calao d’Afrique du Sud
Une chevêchette du Cap
Un souimanga fuligineux
Un autre souimanga (bifascié?) avec d’étonnants reflets colorés au soleil (vert sur la tête, rose sur la gorge)
Un colombar à front nu (pauvre oiseau, quel nom ridicule… la faute aux traductions en français de noms anglais beaucoup plus simples : African green pigeon)…
Les hérons
Le grand-duc de Verreaux
Les dynamiques oies d’Egypte, en action avec les jeunes ou dans l’eau
Le bulbul tricolore
Le coloré jabiru
Le Barbican Promépic (quelle richesse et quelle imagination dans cette belle langue française !!)
Un gravelot à triple collier
Le vanneau armé
Le pluvier fauve
Un autour sombre
Le martin-pêcheur huppé, que tous les ornithologues rêvent de voir un jour… si possible de pas trop loin… encore, il est minuscule…
Le martin-pêcheur ou alcyon pie
Le merle métallique
Le fameux touraco concolore
Un pic vert
Un rollier à longs brins
Une outarde houpette
Un vautour
et le râle à bec jaune
Et comme il faut bien que vous travailliez, vous aussi, on vous laisse deviner le nom des derniers – n’hésitez pas à revenir vers nous!